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Comme d'habitude, on a commencé par enduire et poncer. C'est vite fait, 5 heures, pendant que les touristes étaient à la plage à se les geler ... Bien sûr, les renforts de coque ont reçu des tasseaux pour les solidifier et pour augmenter la surface de collage avec le plateau. Idem pour les cloisons.

Voila le résultat de notre cogitation pour contourner notre moteur trop gros, parce que nous nous avons un gros moteur, môôôsieur !

L'ensemble est en trois morceaux : la petite trappe sur le panneau du bas est verticale. Elle est prévue pour faciliter le changement du joint du Sail Drive dans 8 ou 10 ans. La partie triangulaire au milieu est inclinée pour occuper le moins d'espace dans la cabine, et enfin on bouche le dessus, ce qui fait une étagère pour mettre les boules Quies (pour Dominique qui devra endurer là les ronflements d'Olivier).
Les ouvertures dans le plateau sont beaucoup plus grandes que prévu. En fait, après avoir jeté un coup d'oeil sur le site d'Arnaud www.rémi2.net, le Randonneur 980 qui navigue actuellement à Papeete, on a remarqué que cet espace était largement utilisé. Alors, même si ça ne doit servir qu'en grande croisière, ça aurait été dommage de s'en priver.
Et c'est vrai qu'il y a du volume là-dessous. Le premier compartiment sera peut-être occupé par les batteries de service, on n'est pas certain d'avoir assez de place pour les mettre devant le moteur.

Une fois poncé, c'est l'apprêt époxy. On aime bien faire ça, le coup d'oeil est toujours bon pour le moral.

Il ne reste plus qu'à poncer l'apprêt pour en remettre une nouvelle couche, qu'il faudra aussi poncer.
Après on pourra coller le plateau et passer à autre chose, notamment l'équipet sur le côté, la découpe du hublot dans le bordé, et l'aménagement de la penderie à l'entrée le long de la cuisine.

Tag(s) : #16.la cabine arrière tribord
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