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La cabine arrière double est située à babord dans le bateau.
La cabine arrière tribord n'est normalement pas une cabine ...
C'est une soute ... Ou un local technique ... Bref, pas une cabine.
Enfin sur le plan, l'architecte appelle "la cabine à la mer"...
C'est sûr que sur un 10 m, trois cabines c'est beaucoup.
C'est sûr qu'un local technique, c'est le bonheur.
Comment avoir les deux ?
Voyons voir comment ont fait les autres :
Version Alboran : Daniel et Gérard ont aménagé une cabine arrière tribord particulière : elle est constituée de deux lits simples juxtaposés, mais décallés en hauteur. C'est lié au fait que que sur leur bateau, la soute est à l'avant, accessible par le hublot.
Cette version nous avait beaucoup plu.
Version Mad An Halen : ici pas question d'y dormir. C'est un vrai local technique, mais bien pensé, avec de nombreux rangements. La "caisse" sous le hublot renferme la cuve à eau noire et la découpe permet de voir le niveau.
Version Potes Live : c'est aussi un local technique où on ne peut pas dormir. Pas de coffres fermés, mais des grands espaces pour des bacs. La cuve à eau noire est située en arrière du réservoir à gazole au centre.
Version Moïra : Encore un espace exclusivement technique, essentiellement consacré aux voiles. Des équipets fermés sont aménagés.
Nous on va essayer de faire une cabine simple confortable, mais qui soit transformable en local technique quand l'équipage est réduit.
Le cahier des charges est un vrai défi :
- une banette suffisamment large (plus de 70 cm) tout en pouvant rester debout,
- cacher au maximum tous les tuyaux et cables
- pouvoir en faire une zone de rangements des voiles, des vélos, des annexes, des barbecues, les caisses de gâteaux d'Olivier, ainsi que les 30 litres d'huile et les 180 rouleaux PQ que Dominique (sa femme) achête quand elle est chargée de l'avitaillement ...
Pour l'instant, nous respectons parfaitement le plan de l'architecte. La banette contre le bordé n'est pas large du tout, mais il a prévu un débord. Le plateau de la banette devra pouvoir être soulevé pour libérer les coffres dont le contenu pourra déborder si on veut. Le fait de soulever le plateau redonnera aussi toute la largeur à la zone où on est debout.
Bon je vais bosser. On verra la suite ce soir.
La cabine arrière tribord n'est normalement pas une cabine ...
C'est une soute ... Ou un local technique ... Bref, pas une cabine.
Enfin sur le plan, l'architecte appelle "la cabine à la mer"...
C'est sûr que sur un 10 m, trois cabines c'est beaucoup.
C'est sûr qu'un local technique, c'est le bonheur.
Comment avoir les deux ?
Voyons voir comment ont fait les autres :
Version Alboran : Daniel et Gérard ont aménagé une cabine arrière tribord particulière : elle est constituée de deux lits simples juxtaposés, mais décallés en hauteur. C'est lié au fait que que sur leur bateau, la soute est à l'avant, accessible par le hublot.
Cette version nous avait beaucoup plu.
Version Mad An Halen : ici pas question d'y dormir. C'est un vrai local technique, mais bien pensé, avec de nombreux rangements. La "caisse" sous le hublot renferme la cuve à eau noire et la découpe permet de voir le niveau.
Version Potes Live : c'est aussi un local technique où on ne peut pas dormir. Pas de coffres fermés, mais des grands espaces pour des bacs. La cuve à eau noire est située en arrière du réservoir à gazole au centre.
Version Moïra : Encore un espace exclusivement technique, essentiellement consacré aux voiles. Des équipets fermés sont aménagés.
Nous on va essayer de faire une cabine simple confortable, mais qui soit transformable en local technique quand l'équipage est réduit.
Le cahier des charges est un vrai défi :
- une banette suffisamment large (plus de 70 cm) tout en pouvant rester debout,
- cacher au maximum tous les tuyaux et cables
- pouvoir en faire une zone de rangements des voiles, des vélos, des annexes, des barbecues, les caisses de gâteaux d'Olivier, ainsi que les 30 litres d'huile et les 180 rouleaux PQ que Dominique (sa femme) achête quand elle est chargée de l'avitaillement ...
Pour l'instant, nous respectons parfaitement le plan de l'architecte. La banette contre le bordé n'est pas large du tout, mais il a prévu un débord. Le plateau de la banette devra pouvoir être soulevé pour libérer les coffres dont le contenu pourra déborder si on veut. Le fait de soulever le plateau redonnera aussi toute la largeur à la zone où on est debout.
Bon je vais bosser. On verra la suite ce soir.